dimanche 22 avril 2012

PATRIMOINE CINEMATOGRAPHIQUE Cycle I : Naissance du Cinéma



UNE SEANCE MELIES
     Jacques Mény
     1997, 57 mn, documentaire
Au théâtre du musée Grévin, en public, Jacques Mény reconstitue une représentation    du cinématographe telle qu'elle pouvait se dérouler au tout début du XXe siècle. Toute    cette "séance" est consacrée à une sélection de films de Georges Méliès, délicieusement commentés par la petite fille du cinéaste : Madeleine Malthête-Méliès. 
Du mardi 10 au dimanche 29 avril -  11h00 -  14h30 - 15h30


 DE LA PREMIERE AVANT-GARDE A L’ARRIVEE DU PARLANT

Les années 20- De l’impressionnisme au cinéma pur
Claude-Jean Philippe
1977, 24 mn, documentaire A partir de nombreux extraits de films, une évocation des travaux de la première avant-garde du cinéma français, de 1919 à 1924, qui insiste sur le caractère novateur de leurs recherches inspirées par la   passion de la découverte. Les cinéastes, Louis Delluc, Germaine Dulac, Abel Gance, Marcel l’Herbier, Jean Epstein, Alberto Cavalcanti…sont abordés et leurs travaux illustrés par des extraits de films.

Naissance du cinéma parlant
Claude-Jean Philippe
1977, 25 mn, documentaire
Au-delà de son intérêt documentaire (extraits du "Chanteur de jazz" et des premières bandes d'actualités sonores), ce film retrace les débuts du cinéma parlant et l'élaboration d'un nouveau langage cinématographique mariant l'image et le son.
Du mercredi 2 au dimanche 20 mai -  11h00 -  14h30 - 15h30




Et prochainement, le cycle "Jean Painlevé au fil de ses films"

Jean Painlevé est l'auteur de plus de 200 films, issus tant de la recherche scientifique que de l'esprit rebelle de l'avant-garde. Proche de Vigo, Eisenstein, Artaud, Painlevé a consacré sa vie à une radiographie luxuriante et joyeuse de l'infiniment petit, avec une prédilection particulière pour la faune aquatique qu'il aborde avec une obstination singulière, une curiosité presque jubilatoire et une absence de sentimentalisme. A l'affût de leçons d'humanité dans l'animalité, pionnier subversif du multimédia, Painlevé a su utiliser et développer les technologies les plus pointues de son époque (caméra sous-marine, trucage, ancêtre du steadycam) et mêler, en visionnaire, ses images aux musiques les plus contemporaines, du jazz de Louis Armstrong et de Duke Ellington aux musiques électroniques de Pierre Henry. »
(Les Documents cinématographiques)

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